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November 30, 2022
Montreal, Canada
Bell Center
Media Scrum (Français)
Q. En tant que capitaine, ça doit être encourageant de voir la façon dont le sport a évolué au Canada avec tous les bons joueurs qui arrivent.
MIKE WEIR: Oui, effectivement. Vous savez, avec la façon dont les gars jouent, nous pourrions en avoir - l'année dernière à Charlotte, nous en avons eu deux. C'était le plus grand nombre. Quand je jouais, il n'y en avait qu'un. Maintenant, nous en avons deux, et puis nous avons des gars qui gagnent dès le début, et il y a une bonne chance qu'il y en ait plus, donc c'est très excitant.
Q. Le Club de golf Royal Montréal, ce n’est pas le même parcours, mais j'imagine que ce sera un défi pour les deux parties ?
MIKE WEIR: Oui, le parcours de golf, ils vont y faire quelques ajustements. Les joueurs d'aujourd'hui ont un jeu lent, comme nous le savons, donc ils font les ajustements appropriés, et c'est un excellent parcours de match play. Oui, étant donné le mois de septembre, entre le milieu et la fin du mois de septembre, la météo pourrait être un facteur, et le parcours sera d'autant plus lent.
Q. Serait-ce possible que les maillots Équipe Canada reviennent pour les épouses puisque nous avons maintenant le logo?
MIKE WEIR: On ne sait jamais! Ça pourrait être une idée. Nous aurons certainement des thèmes canadiens dans notre salle d'équipe.
Q. Qu'avez-vous appris des anciens capitaines?
MIKE WEIR: Oui, je pense que c'est juste le fait de regarder les choses en coulisses, voir ce que les capitaines font ainsi que leur épouse, comme regarder Ernie Els, Liezl travailler, et Sue Price et Carmenita Immelman. Il y a beaucoup de travail à faire en coulisses pour les soutenir. Ensuite, pour nous, les choses ont tellement évolué. L'équipe d'analystes, l'implication dans le parcours de golf. Il ne s'agit pas seulement d'une semaine et de la mise en place des équipements. Il y a beaucoup de choses qui entrent en ligne de compte, des réunions pour que le capitaine aille sur le TOUR pour voir qui sont les joueurs, les observer et les suivre dans les entraînements. Je ne pense pas que cela se produisait à mon époque. Les capitaines ne faisaient pas vraiment cela, alors il y a beaucoup plus de choses à faire maintenant. J'ai appris à observer en coulisses ce que les gars font réellement.
Q. Il y avait surtout des grillades à Quail Hollow. Qu'attendez-vous à Montréal ?
MIKE WEIR: Eh bien, vous savez quoi? La nourriture est une chose importante pour notre équipe et pour notre culture. Nous allons essayer de trouver les meilleurs chefs coréens, des sushis japonais, de la nourriture sud-américaine, et bien sûr de la nourriture canadienne. Nous allons avoir tout cela dans notre salle d'équipe. Nous voulons que les gars se sentent à l'aise. Nous voulons qu'ils se nourrissent comme ils le souhaitent, surtout avant et après le tournoi. Le fait d'être ici dans ce bâtiment hier et d'observer l'équipe et comment ça se passe maintenant, ils sortent de la patinoire le matin, ils rentrent, ils prennent une boisson protéinée, ils prennent un repas immédiatement. C'est important pour l'athlète d'aujourd'hui, et le golf n'est pas différent.
Q. Qui t'a appelé pour te dire que tu es le capitaine ? Trevor ? Plusieurs personnes ? Quel est le processus pour dire, hey, voici la nouvelle, c'est ton travail maintenant?
MIKE WEIR: Je pense que c'est une variété de choses. Je pense que le fait de savoir que ça venait à Montréal, de parler avec Ernie et Trevor et de savoir que ça s'alignait plutôt bien pour moi, c'était tout simplement logique. C'était donc un point culminant pour nous tous et évidemment pour le commissaire et Jay. C'est ainsi que tout s'est aligné.
Q. Qu'est-ce qu'Ernie a commencé et que vous voulez continuer à développer maintenant ? Il semble que c'était une sorte de moment décisif pour l'équipe.
MIKE WEIR: Ouais, c'est ce nouveau logo qui nous unit. Comme je l'ai dit sur scène là -bas, nous étions quelques gars venus de partout dans le monde qui essayaient de se réunir pendant une semaine. Maintenant, nous avons l'impression de faire tous partie de la même équipe. Il y a un esprit de camaraderie. Je pense que chaque semaine sur le PGA TOUR, les gars essaient de se retrouver et de jouer pour s’entraîner ensemble. Je pense que cela nous a rapprochés. C'est une idée vraiment innovante qu'Ernie et Liezl ont eue, et cela a très bien fonctionné, et les gars y ont adhéré. C'est génial pour notre équipe.
Q. J'aime les histoires où les capitaines communiquent avec des entraîneurs d'autres sports pour leur demander leur avis.
MIKE WEIR: Oui, c’est vrai.
Q. Y a-t-il des gens dans le domaine du hockey avec qui vous souhaitez parler?
MIKE WEIR: Je pense que tu as tout à fait raison. Je pense que les gars... J'ai quelques gars en tête. Je n'ai encore contacté personne. Je voulais passer par cette annonce. C'est quelque chose que -- regardez, je n'ai jamais été un capitaine avant. J'ai fait partie des équipes, du côté des assistants. J'ai observé, comme je l'ai dit, Pricey, Ernie et Trev. Mais nous sommes des golfeurs, et nous essayons d'apprendre de ceux qui l'ont fait avant nous, et en nous appuyant sur les entraîneurs de hockey, dans l'Utah où je vis, peut-être l'entraîneur de basket-ball, en consultant certains gars qui l'ont fait pendant longtemps, plus pour leur leadership, en apprenant cela, en observant Martin, même juste pendant les quelques minutes quand j'étais dans la salle d'équipe hier, il y a beaucoup à apprendre. Le temps qu'il a passé avec certains des autres gars sur la glace après la fin de l'entraînement, certains gars qui ne portaient même pas de costume, ce sont des choses que je vais essayer de mettre en œuvre. Je vais essayer de participer à beaucoup plus d'événements. Je vais essayer de... des gars qui sont peut-être même plus bas sur la liste pour leur remonter le moral et leur donner confiance. Toutes ces choses auxquelles j'ai beaucoup pensé ces dernières semaines.
Q. Michelle est-elle excitée ?
MIKE WEIR: Elle est très excitée, oui. Elle fait partie intégrante de tout ça. Elle a toujours été d'un grand soutien pour moi et moi pour elle. Il y a beaucoup à faire pour les femmes. Elles sont une grande partie de l'équipe, aussi. Elles nous soutiennent. Il y a beaucoup de hauts et de bas au cours d'une semaine. La Coupe des Présidents, c’est des montagnes russes d’émotions. Et quand vous êtes au sommet, vous êtes au sommet, mais si vous avez une mauvaise journée, vous avez besoin du soutien de votre conjointe pour vous remonter le moral. Si vous avez une mauvaise journée, le lendemain, vous devez vous lever et vous préparer parce qu'un demi-point peut être crucial. Un point peut être énorme. Nous devons garder le moral, et les épouses y contribuent largement.
FastScripts Transcript by ASAP Sports
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